Faire une recherche sur internet, envoyer un e-mail, regarder une vidéo ou stocker des données sur un cloud n’est pas aussi innocent qu’il n’y paraît. On estime qu’internet génère aujourd’hui 2% des émissions de carbone de la planète. Un chiffre qui devrait doubler d’ici 2019. L’un des véritables enjeux d’avenir pour l’environnement réside dans les centres de données. Stocker sans polluer est tout à fait possible. Infomaniak en apporte la preuve.
La pollution numérique pourrait dépasser celle de l’industrie aéronautique si nous ne mettons pas en place une utilisation responsable et durable d’internet. Surfer sur la toile a un véritable impact sur l’environnement. Si le web est dématérialisé, ses conséquences sur la planète sont très concrètes. Une simple requête sur un moteur de recherche génère 5 à 7 grammes de CO2. Et plus la pièce jointe d’un e-mail est lourde, plus le message est polluant.
Seul derrière notre écran, il est difficile de prendre conscience que nous sommes des millions de particuliers et d’entreprises à avoir, chaque jour, ce même usage d’internet. Sans parler du développement fulgurant des pays émergents, dû en grande partie à l’accès aux nouvelles technologies.
L’une des principales causes de la pollution numérique, c’est le stockage des données clients (e-mails, vidéos, sites internet…) dans les centres de données classiques et polluants. Ces masses pharaoniques de données nécessitent d’être stockées sur des serveurs puissants très énergivores.
Parmi ces 17 engagements figurent la réduction et l’optimisation de la consommation d’énergie, l’utilisation d’électricité provenant exclusivement du renouvelable, la compensation intégrale des émissions de CO2 générées par l’entreprise, l’adaptation des centres de données aux normes écologiques, l’emploi de serveurs peu sensibles au chaud, le refroidissement de ces serveurs sans climatisation grâce à l’air extérieur filtré et le remplacement régulier du parc de serveurs qui est ensuite recyclé.
Par son exemple, Infomaniak prouve qu’il est tout à fait possible de réduire drastiquement sa consommation électrique (-20%) tout en étant en pleine croissance (+ 18% de serveurs) et en utilisant des technologies de pointe.
Source : PositivR