Oui, il est encore possible de faire quelque chose pour sauver la planète, ou plutôt, pour diminuer l’impact de l’activité humaine sur son environnement. La preuve par la couche d’ozone.
Depuis le protocole de Montréal, signé en 1987, qui a imposé l’interdiction progressive de certains gaz néfastes pour la couche d’ozone, (en particulier, les aérosols domestiques, et les gaz réfrigérants utilisés dans les appareils électroménagers), la couche d’ozone va mieux.
Après une phase de stabilisation, pendant laquelle les trous n’ont plus grossi, voici maintenant que de manière certaine, ils se résorbent. Une étude publiée dans la revue de référence Science affirme que les trous ont perdu l’équivalent de la moitié des États-Unis, en surface. Dans trente ans, ils pourraient avoir totalement disparu.
D’après les chercheurs, les gaz qui s’attaquent à la couche d’ozone ont vu leur concentration diminuer dans l’atmosphère terrestre de 15 %, par rapport au maximum enregistré dans les années 90. Le bémol, c’est que ces gaz ont une durée de vie très longue. Il faudra donc encore des décennies pour qu’ils disparaissent totalement ou tout au moins, ne soient plus un sujet d’inquiétude…
Source : Consoglobe