
MÉMOIRES MÉTISSÉES est un docu-fiction qui nous plonge dans l’histoire de Céleste, Clara et Cassandre. Trois femmes métissées, issues des communautés noires et autochtones.
Céleste, née d’un père wendat et d’une mère canadienne-française, se voit poussée, presque malgré elle, à renouer avec les traditions ancestrales de sa nation.
Clara, arrivée seule d’Haïti à 6 ans, tente toujours de trouver sa place, déchirée entre deux pays et deux cultures à l’opposée l’une de l’autre.
Cassandre, née d’un père Noir et d’une mère Blanche, qui lui a transmis sa couleur de peau, découvre la résilience de ses ancêtres noirs issus de l’esclavage, établis au Canada depuis le 17e siècle.
En remontant le fil de leurs récits personnels, ces trois femmes de générations différentes nous font découvrir la face cachée de nos mémoires individuelles et collectives.
Une actualisation puissante qui nous ramène à nos origines communes.


Librement inspiré de fait vécus, ce drame criminel raconte comment, à la fin des années 1970, Donald Lavoie, un tueur à gages redoutable qui travaille sous les ordres du boss de la pègre du Sud-Ouest de Montréal, Claude Dubois, prend sous son aile une jeune recrue qui ne tarde pas à le compromettre dans un double meurtre salopé. Lavoie échappe à la justice, mais ce n’est que partie remise pour le sergent-détective Patrick Burns qui cherche à le convaincre de témoigner pour faire tomber le clan Dubois. Pour tester sa dévotion, Dubois demande à Lavoie d’éliminer un proche. Traqué par le clan Dubois d’un côté et par Burns de l’autre, Donald se retrouve pris dans un étau qui se resserre.

Bungalow
Bungalow, réalisé par Lawrence Côté-Collins et coscénarisé avec Alexandre Auger. Le film met en vedette Sonia Cordeau, Guillaume Cyr, Geneviève Schmidt, Eve Landry, Martin Larocque et Benoît Mauffette dans les rôles principaux, aux côtés de Julie de Lafrenière, Florence Blain Mbaye, Anaïs Favron, Sasha Migliarese, Alain Zouvi, Antoine Vézina et avec la participation spéciale de Sylvie Léonard.
Sarah et Jonathan achètent un bungalow à rénover pour en faire la maison de leurs rêves. Les mauvaises décisions, le manque de cash et les mensonges poussent le couple à franchir des zones extrêmes. Leur vie se transforme en cauchemar. Jusqu’où iront-ils pour sauver leur amour et les apparences? Watch out les petites réno !

Du 5 au 9 mai 2023
VISIONS DE LA SARDAIGNE
Impossible de résumer une culture à travers un film mais cette sélection vous offrira un aperçu de la singularité de l’âme sarde.
La Fondazione Sardegna Film Commission et l’Institut Culturel Italien de Montréal sont ravis de vous faire découvrir cette sélection de cinq films sardes multi-récompensés de ce côté de l’Atlantique. Le cinéma est un art magique et universel qui nous rassemble comme peu d’autres pratiques en sont capables. Il nous permet de vivre, le temps d’une séance, une expérience dans un autre espace-temps. Venez découvrir la Sardaigne à travers ces films.
De cette île située au carrefour de la Méditerranée et baignée d’histoire(s) est née une culture, une langue et même une mythologie d’une richesse inégalée que tente de saisir le regard des cinq cinéastes proposés.
La beauté sauvage – certains diront la cruauté – des paysages sardes habitent les personnages des films sélectionnés ; elle dicte les gestes, les conflits et transporte le public dans un lieu unique où chaque parole des habitants et chaque pli de leurs vêtements sont imprégnés de cette insularité si indéfinissable.

Festival du film de l’Outaouais
L’idée du Festival du film de l’Outaouais est née de La nuit des cinéphiles en mars 1998. Durant cet événement, plus de 4000 cinéphiles ont pu apprécier un cinéma différent. Didier Farré, organisateur de cette Nuit et aujourd’hui fondateur et directeur général du Festival, se donna alors pour mission de promouvoir le cinéma d’auteur d’ici et d’ailleurs. C’est ainsi en collaboration avec la Société Radio-Canada et le journal Le Droit que fut créé en 1999 le Festival du film de l’Outaouais, tel qu’on le connait aujourd’hui.
Le Festival du film de l’Outaouais présente durant 9 jours consécutifs une centaine de projections de long et courts-métrages de fiction, d’animation ou documentaire provenant d’une vingtaine pays. Fidèle à son habitude, le festival offre une place prépondérante au cinéma d’auteur national et international et plus particulièrement aux productions québécoises et de l’Outaouais.

En salle au Canada le 9 juin
Montréal Girls, réalisé par Patricia Chica
Filmoption International et Objectif 9 sont heureuses d’annoncer la sortie du film Montréal Girls réalisé par Patricia Chica. Il prendra l’affiche partout au Canada à compter du 9 juin. Drame audacieux sur le passage à l’âge adulte le film a été conçu et produit par la cinéaste Patricia Chica (Morning After, Serpent’s Lullaby). Il met en vedette Hakim Brahimi et Nahéma Ricci aux côtés de Jasmina Parent, Jade Hassouné et d’une nouvelle venue Sana Asad. Manuel Tadros tiend un rôle de soutien et Martin Dubreuil apparaît dans un caméo.
Montréal Girls raconte l’histoire de Ramy, un jeune étudiant du Moyen-Orient qui part à Montréal pour étudier la médecine. Là, il y rencontre son cousin Tamer qui lui fait découvrir les sous-cultures underground animées et la vie nocturne palpitante de la ville. Ce nouveau monde passionnant inspire le désir inné de Ramy de devenir poète et le jette dans une relation tumultueuse avec trois jeunes femmes qui brisent ses perceptions et lui révèlent son destin.

Coeur de slush
À 16 ans, du haut de ses presque 6 pieds, Billie est en retard dans presque tout. Pressée de se rattraper, elle entame son été comme sauveteuse au parc aquatique avec ses deux meilleures amies Rosine et Juliette, et sa grande-sœur-parfaite Annette. Cet été est rapidement chamboulé lorsque Billie s’entiche de Pierre, un jeune cycliste prodige, et qu’Annette tombe aussi sous ses charmes. S’en découle alors un triangle amoureux déchirant où Billie doit une fois pour toutes prendre sa place et se battre pour vivre l’histoire d’amour qu’elle mérite, tout en protégeant ce lien aussi fragile qu’indestructible avec sa sœur.

AU CINÉMA DÈS LE VENDREDI 14 JUILLET
LE TEMPS D’UN ÉTÉ
Réalisé par Louise Archambault, cinéaste à qui l’on doit, entre autres, Il pleuvait des oiseaux, Merci pour tout et Gabrielle, Le temps d’un été est une idée originale et un scénario de Marie Vien, autrice reconnue notamment pour La Passion d’Augustine et 14 jours 12 nuits, représentant du Canada pour la course à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2021. Le film prendra l’affiche le vendredi 14 juillet.
Produit par Antonello Cozzolino et Brigitte Léveillé pour Attraction, Le temps d’un été met en vedette une magnifique distribution menée par Patrice Robitaille, Guy Nadon, Élise Guilbault, Martin Dubreuil et Sébastien Ricard. Marc-André Leclair, Justin Leyrolles-Bouchard, Cedric Keka Shako, Louise Turcot, Pierre Verville, Océane Kitura Bohémier-Tootoo, Josée Deschênes, Gilbert Sicotte, Normand Chouinard, Geneviève Rochette et Bruce Dinsmore complètent le casting.

Dès le 6 octobre
Les hommes de ma mère
Elsie, une jeune femme à l’aube de sa trentaine, reçoit un héritage inattendu de sa mère excentrique: la mission de reprendre contact avec ses cinq ex-maris. Confrontée aux dernières volontés de sa mère, Elsie doit renouer avec son passé et se rapprocher de ses anciens beaux-pères et aussi de son père avec qui elle a coupé les ponts depuis longtemps. Cinq hommes, cinq rencontres marquantes et inattendues.
Elsie est déterminée à honorer la mémoire de sa mère, mais ce voyage changera profondément sa trajectoire lui permettant d’apprivoiser, peu à peu, ses propres démons et d’entrer dans l’âge adulte.
Éditeur : Laurent Imbault