Une douzaine de chercheurs de l’Université de Montréal (UdeM) tenteront de décontaminer quatre hectares de terrain de l’est de Montréal en utilisant une alternative écologique à la décontamination traditionnelle : la phytoremédiation.
« Ce procédé décontamine les sols pollués en utilisant différentes sortes de plantes en combinaison avec des champignons et des bactéries, explique Michel Labrecque, directeur par intérim de l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV) de l’UdeM. Cela fait plus de 20 ans que l’institut étudie cette méthode. »
Le maire de Montréal, Denis Coderre, a annoncé le 20 novembre un investissement de 780 000$ sur quatre ans dans ce projet de l’UdeM. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie de développement économique de la ville qui mise notamment sur la création d’un pôle entièrement dédié à la chimie verte.
Source: Métro