Des neuroscientifiques ont découvert qu’écouter de la musique pourrait diminuer l’anxiété de 65%
Alors que 2016 a été une année particulièrement stressante, de multiples études de la «génération Y» (personnes nées dans les années 1980 et 1990), on déclaré vivre dans « l’âge du désespoir», selon Marjorie Wallace. Elle est le chef de la direction de l’organisation caritative « Sane », qui travaille à partir d’une multitude d’études psychologiques, uniquement sur le niveau d’anxiété auquel la génération Y est confrontée.
Une enquête réalisée en 2013 a découvert qu’aux États-Unis, 57% des étudiantes confrontées à des périodes «d’anxiété écrasante », et une étude au Royaume-Uni a découvert qu’un tiers des jeunes femmes et 10% des hommes du millénaire souffraient d’attaques de panique.
Ce niveau d’anxiété est significativement plus élevé que celui des générations précédentes. Il est attribué à l’angoisse produite par les médias sociaux, la dépendance parentale à cause des parents trop protecteurs, et trop de choix ce qui est émotionnellement paralysant, selon des chercheurs tels que Rachael Dove et Pieter Kruger.
Kruger dit que la diversité de choix augmente la peur de l’échec et l’absence de confinement, augmentant un besoin obsessionnel de prendre les bonnes décisions, ce qui se traduit souvent par aucune décision du tout. La pression interne que cela entraîne, conduit à une anxiété insurmontable, et les médias sociaux ont crée FOMO (la peur de manquer de quelqu’une chose), selon Kruger. Ce phénomène qui vous compare trop à la vie des autres personnes, a massivement conduit cette génération à chroniquement se sentir inférieure aux autres.
Bien sûr, ce que les gens présents sur les médias sociaux font voir de leur vie, n’a aucun rapport avec la réalité quotidienne. FOMO est une bonne raison de sortir d’une dépendance aux médias sociaux qui encourage cet état dépressif, et de trouver des sources qui favorisent la paix intérieure.
Source: Sain et Naturel